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Ce que la Power 100 list 2023 d’ArtReview dit de l’art de notre temps

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La photographe américaine Nan Goldin est cette année en tête du palmarès de la très enviée Power 100 List par son action militante contre les responsables de la crise des opiacées. Courtesy Gagosian Gallery, Photo Phil Penman

L’art contemporain est plus politique que jamais, si l’on en croit le palmarès de ce magazine britannique qui fait loi, des biennales aux musées. Analyse, du point de vue français, presque absent de ce «best of».

La Power 100 List d’ArtReview, c’est un mixte de sondage, d’air du temps et de résultats d’élections tenues confidentielles, un classement au plus serré du prestige, de l’impact et de la cote des personnalités de l’art qui met cette année l’artiste américaine Nan Goldin en pole position pour sa 22e édition aux couleurs du monde contemporain et de ses obsessions. La «photographe légendaire» de l’intimité et des années sida à New York est ici saluée pour son activisme contre la famille Sackler, responsable, dit-elle, de la crise des opiacés aux États-Unis et dans le monde. Elle est le fer de lance d’un palmarès dont les dix premiers noms sont des artistes qui entendent faire pression sur les questions politiques et sociales, souligne le quotidien britannique The Guardian.

Le film de Laura Poitras sur cette croisade de Nan Goldin, Toute la beauté et le sang versé , a reçu le lion d’or à la 79e Mostra de Venise en 2022, mais a perdu dans la course aux Oscars 2023 qui a choisi de récompenser

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Content Source: www.lefigaro.fr

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