En déplacement à Londres pour un concert au Capital’s Jingle Ball dimanche soir, la chanteuse a décidé de surprendre ses fans le lendemain en interprétant ses plus grands titres dans le fameux hall de gare.
Les pianos installés dans les gares sont souvent le théâtre de performances hésitantes. Il arrive cependant qu’un prodige s’installe face aux touches noires et blanches pour offrir aux voyageurs un moment suspendu dans le temps. À la gare de Saint-Pancras à Londres, ce lundi, la star s’appelait Alicia Keys.
La chanteuse quinze fois récompensée aux Grammys a averti ses followers au dernier moment par une story Instagram: «Voilà, je suis ici à Londres et je viens de décider de faire un saut à King’s Cross. Je sors (de la voiture), et je vais sauter sur le piano d’Elton John parce que j’en ai envie. Qu’est-ce que vous en dites ?». Il n’en fallait pas plus pour que ses fans se précipitent dans le hall de la fameuse gare.
Assise au clavier du mythique piano offert par Sir Elton John qui s’était lui aussi produit dans la gare de St. Pancras en 2016, la chanteuse a improvisé une courte performance. Parmi les tubes interprétés, les fans et les passants ont pu entendre le titre Empire State of Mind. La foule l’a acclamée lorsqu’elle a changé les paroles «now you’re in New York» par «now you’re in London», faisant ainsi un clin d’œil à la ville où elle avait donné un concert au Capital’s Jingle Ball le dimanche soir.
La New-Yorkaise a ensuite chanté ses succès If I Aint’ Got You et No One avant de terminer par son dernier single, Lifeline qui apparaîtra dans le film La couleur pourpre, une comédie musicale dramatique qui sortira le 24 janvier en France.
Cette année, Alicia Keys célèbre le 20e anniversaire de The Diary of Alicia Keys, album pour lequel elle a remporté le Grammy Award du meilleur album R&B en 2005. Au printemps 2024, les admirateurs de la chanteuse auront également l’occasion de redécouvrir sa vie et sa carrière, librement mises en scène dans la comédie musicale Hell’s Kitchen à Broadway.
Content Source: www.lefigaro.fr