DÉFILÉ – Pour son deuxième défilé parisien pour le malletier, la star internationale a confirmé les espoirs placés en lui après sa première collection. En se tournant vers l’héritage de son pays, les États-Unis, sans tomber dans le cliché.
Après son ultra-spectaculaire premier défilé sur le Pont Neuf, en juin, comment frapper aussi fort, pour Pharrell Williams, le directeur artistique des collections masculines de Louis Vuitton? C’était toute l’interrogation, ce mardi soir pour cette deuxième sortie parisienne (la troisième en tout, après un défilé délocalisé à Hong Kong en novembre) de l’Américain.
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Quelques jours avant le show, les quelques 1400 invités du malletier avaient reçu, en guise d’invitation, un harmonica et, pour une poignée d’entre eux (ceux installés au premier rang), un chapeau de feutre, brodé des lettres LV version enseigne de saloon, qui aurait certainement plu à John Wayne. Voilà qui laissait présager un show à la sauce américaine… Dans la boîte installée dans le Jardin d’Acclimatation, juste derrière la Fondation Louis Vuitton, des écrans diffusent des paysages de l’Ouest américain. Un premier modèle s’avance en long manteau brodé de fleurs western et franges en bas, jean délavé et chemise à boutons en…
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