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Notre critique de Sans jamais nous connaître: les absents sont toujours forts

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Paul Mescal interprète Harry dans Sans jamais nous connaître.
20th Century Studios

CRITIQUE – En retournant dans la maison de son enfance, un scénariste découvre ses parents décédés… bien en vie. Un bouleversant récit sur le deuil et le lâcher-prise.

En cette Saint-Valentin, vous ne trouverez pas un film plus poétique, obsédant et déchirant que Sans nous connaître, adaptation délicate et sensuelle dans le Londres d’aujourd’hui de la nouvelle Présences d’un été du Japonais Taichi Yamada. Un conte inclassable entre romance, transcendance et fantômes. Scénariste en quête d’inspiration, Adam vit dans une tour moderne aux appartements inoccupés.

Une nuit, il croise dans l’ascenseur Harry, un voisin qui l’invite chez lui. Les deux hommes se plaisent mais Adam n’ose pas sauter le pas. Bousculé par cette rencontre qui brise la monotonie, Adam retourne dans la banlieue où il a grandi avant qu’un accident de voiture n’emporte ses parents, il y a trois décennies. Sur place, il découvre, ébahi, ses géniteurs bel et bien en vie, éternels trentenaires. En leur présence, et celle de Harry, Adam trouve un réconfort inédit.

À l’horreur qui infusait le conte de Yamada, le réalisateur britannique Andrew Haigh, déjà remarqué avec 45 ans , préfère le surréalisme…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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