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Maman est malade | Le cancer du sein devant la caméra

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Imaginez recevoir un diagnostic de cancer. Imaginez le choc. Imaginez maintenant recevoir un diagnostic de cancer du sein quelques semaines seulement avant d’accueillir un nouveau-né… Geneviève Everell, alias Miss Sushi, a vécu ce choc et en témoigne dans la série documentaire Maman est malade.




Habituée aux médias et à montrer son quotidien en ligne, Geneviève Everell n’a pas hésité à vivre son drame personnel devant une caméra. Maman est malade, dont nous avons pu voir deux des cinq épisodes, la suit ainsi pas à pas dans la maladie : chez le médecin, à ses examens, à la maison avec son amoureux et son premier enfant. Puis, avec en plus son bébé tout neuf. Le discours est franc, les émotions aussi.

L’entrepreneure raconte à l’écran qu’elle n’a pas hésité à se lancer dans l’aventure du documentaire, même si elle ne savait pas ce qui l’attendait. Elle avait besoin de faire quelque chose. De donner du sens, aussi, à ce qu’elle vivait. Raconter son histoire lui a d’emblée semblé la chose à faire pour que d’autres femmes devant subir des traitements contre le cancer dans une période pivot de leur vie se sentent moins seules.

Son conjoint Nicholas et elle n’ont pas pu vivre de lune de miel avec leur petite fille née au début de l’année 2024. Sitôt l’enfant née, la maman a en effet dû entreprendre des traitements de chimiothérapie. L’arrivée d’un bébé chamboule déjà une vie. L’accueillir dans un tel contexte exige à la fois du dévouement et un grand lâcher-prise.

Le sentiment de proximité avec Geneviève Everell, son entourage et son équipe soignante constitue la grande particularité de Maman est malade. Elle ne raconte pas après coup ce qu’elle a traversé, elle le vit littéralement sous nos yeux. Ce qui donne de la force au propos, même si on sait depuis la fin de l’été que Miss Sushi est hors de danger.

Ce qu’on remarque, outre la résilience de la maman malade et de son conjoint, c’est la bienveillance du personnel soignant et l’existence de ressources pour les personnes malades. Geneviève Everell échange notamment avec une « sœur de sein », c’est-à-dire une femme qui a traversé la même épreuve qu’elle et qui peut vraiment comprendre ce qu’elle vit et ressent.

Cet accompagnement aura visiblement touché Geneviève Everell : le synopsis du cinquième épisode, que nous n’avons pas vu voir et qui ne sera diffusé qu’au mois de janvier 2025, laisse entendre qu’elle est elle-même devenue une « sœur de sein » et qu’elle accompagne une femme aux prises avec un cancer du sein.

Rappelons qu’octobre est le mois de la sensibilisation au cancer du sein. Geneviève Everell a d’ailleurs été choisie pour apparaître sur le numéro courant du magazine Clin d’œil, qui présente aussi les témoignages de quatre autres femmes ayant vécu un tel cancer.

Maman est malade est disponible à compter de ce lundi, sur l’Extra de Tou.tv.



Content Source: www.lapresse.ca

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