Le scénographe exclusif du metteur en scène Patrice Chéreau vient de publier «Percussion discussion», un livre d’entretiens, et fait l’objet d’une exposition au Mobilier national.
Le salon Denon du Musée du Louvre réinventé pour Rêve d’automne de Jon Fosse monté par Patrice Chéreau au Théâtre de la Ville, ou les murs qui « saignaient » pour Le Roi Lear mis en scène par Luc Bondy à Vienne. Parfois, on se souvient davantage des décors de Richard Peduzzi que des spectacles qui sont donnés. Ils sont reconnaissables entre tous. Épurés, élégants, dans les tons gris-bleu ou dans des couleurs chaudes, ils donnent une impression d’espace et accueillent en majesté les comédiens. La signature Peduzzi a marqué les pièces, les opéras et les films de Patrice Chéreau. Sans oublier les mises en scène de Luc Bondy, dont il a réaménagé la maison de Corse.
À lire aussi
«Un modèle d’écriture contemporaine ou classique»: Patrice Chéreau, un modèle oublié
C’est ce qu’il raconte au journaliste Arnaud Laporte dans Percussion discussion, un livre d’entretiens illustré de ses dessins, aquarelles et autres études. L’artiste et le chroniqueur de France Culture se connaissaient, ils se tutoient, ce qui favorise les confidences. Ils échangent dans…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 73% à découvrir.
Vous avez envie de lire la suite ?
Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement.
Déjà abonné ?
Connectez-vous
Content Source: www.lefigaro.fr
