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Préhistoire: le trésor d’un explorateur et de ses amazones au Musée de l’Homme

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L’explorateur, naturaliste et ethnographe Henri Lhote, procédant à des relevés, lors de son expédition dans le Tassili n’Ajjer, en Algérie, 1956-57. MNHN – Labo Préhistoire

RÉCIT – Leo Frobenius a parcouru le monde avec des artistes des Beaux-Arts. Des femmes surtout.

Avec Henri Lhote ou Gérard Bailloud qui a, lui, surtout travaillé sur les peintures de la région de l’Ennedi au Tchad, et bien sûr leur maître l’abbé Breuil, le premier à avoir révélé les trésors insoupçonnés des grottes françaises, l’exposition fait la part belle au travail de Leo Frobenius (1873-1938). Son institut à Francfort est un peu l’équivalent outre-Rhin de notre Musée de l’homme. Plus ancien institut de recherche anthropologique allemand, il détient plus de 8000 relevés d’art préhistorique, les plus anciens ayant été effectués dès 1898, les plus impressionnants pouvant atteindre dix mètres de longueur.

«Depuis 2010, on redécouvre cette collection qui se trouvait mal conservée ainsi que son passé glorieux. Entièrement numérisée, elle relève aujourd’hui du patrimoine de l’humanité et figure sur la liste Mémoire du monde de l’Unesco», explique son conservateur Richard Kuba, commissaire avec l’historien de l’anthropologie à la Sorbonne Jean-Louis Georget et sa collègue Egidia Souto…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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