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À Bruxelles, la Brafa fait son show surréaliste

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Cette année, pour sa 69e édition, 132 galeries venant de 14 pays ont investi les espaces de Brussels Expo.
Olivier Pirard

CRITIQUE –Dans une étonnante scénographie en hommage au peintre Paul Delvaux, la foire belge d’art et d’antiquités s’impose par son éclectisme et quelques pièces d’exception.

Le décor tout à fait surréaliste – hommage à la Fondation Paul Delvaux invitée d’honneur – donne la mesure de cette 69e édition, à l’ambiance chaleureuse et pleine d’énergie, à visiter joyeusement jusqu’au 4 février. Sous la direction d’Harold t’Kint de Roodenbeke (un Poliakoff vendu), la Brafa à Bruxelles entend bien s’imposer comme un salon d’art et d’antiquités majeur, moins important en taille que l’indétrônable Tefaf Maastricht, qui ouvrira début mars, mais d’un niveau supérieur à Fab Paris, alliance du salon Fine Arts et de l’ex-Biennale des antiquaires, ayant eu peine à convaincre, faute de clients internationaux, en novembre dernier, à Paris. Quelque 9000 personnes se sont pressées dans les bâtiments 3 et 4 de Brussels Expo (un bémol: l’arrivée toujours peu accueillante, avec son immense hall vide avant l’entrée!) pour le vernissage ultra-VIP, suivi de son dîner de gala très couru aux couleurs de Delvaux (1850 personnes).

C’est dire l’enthousiasme du public, un fort bataillon de…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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