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La foire ArtGenève inaugure une année d’incertitudes pour le marché et de surprises pour les amateurs

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Dans un tissu du Mozambique, Joana Vasconcelos a conçu une créature en passementeries et broderies de 15 mètres de long, hommage à Elizabeth Mumbet Freeman, première esclave américaine à avoir gagné la bataille juridique pour sa liberté en 1781.
Joana Vasconcelos/galerie Gowen

Dans un climat qui invite à l’attentisme, la douzième édition de la manifestation propose une offre de qualité et un cadre où les affaires sont encore possibles.

C’est le premier rendez-vous de l’année pour l’art moderne et contemporain. ArtGenève ouvre la saison et donne le ton dans la cité helvète, la même semaine que la Brafa, autre salon plus généraliste, à Bruxelles. Entre les deux, les collectionneurs ont dû choisir, le grand dîner des deux manifestations étant fixé jeudi soir. Chacune de ces foires régionalistes mise sur son public de fidèles. Les Français sont nombreux à venir en ce mois de janvier généralement très calme dans les galeries à Paris. D’autant plus en cette rentrée où le climat social, économique et géopolitique incite à l’attentisme.

Malgré le contexte plombé, marchands et collectionneurs refusent de se laisser abattre. Humer de l’art redonne le moral. Et le bon niveau d’ArtGenève a de quoi rassurer. On compte 80 participants (67 dans la section principale, 13 dans la partie «solo shows» qui en comptent 30 sur toute la foire) pour cette douzième édition pourtant chahutée par un changement de direction qui aurait pu lui être…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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