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Paloma Picasso: «Mon père n’est pas le satyre que l’on voudrait faire croire»

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«Mes idées ne sont pas toujours réalisables, mais j’aime les obstacles. Ma mère s’arc-boutait contre l’impossible. Rien d’une victime. J’ai hérité cela d’elle», confie Paloma Picasso.
Tom Munro

ENTRETIEN EXCLUSIF – Créativité, charisme, excès… La dernière des quatre enfants du peintre se confie sur sa famille et sur cette célébrité unique au monde, à l’occasion du réaccrochage des collections du musée parisien.

Paloma est un Picasso. L’œil noir, le nez sculptural, le port bien net, elle est à l’image de ce père monument qui l’a eue à 68 ans. Et à l’image de son œuvre où elle est présente directement ou indirectement, tant elle ressemble aux femmes dessinées, peintes et sculptées de Picasso par cet alliage de force et de féminité. Comme son père, c’est plutôt un petit format, et pourtant elle semble grande par cette aura tranquille propre aux «Royals» de l’art. De cette ascendance andalouse, elle a hérité le teint mat, le cheveu noir, cette facilité de contact qui n’a rien de vulgaire et qui est une forme d’éducation cordiale. Son sourire, courtois, sait mettre à distance les intrus.

Paloma Picasso est née en 1949 «à Boulogne-Billancourt, dans la clinique du Dr Lamaze, l’homme qui a inventé l’accouchement sans douleur, comme tous les enfants de Pablo, sauf peut-être Paulo, qui était né en 1921», rectifie celle que l’on fait souvent naître à Vallauris, où elle passa son enfance. «Je suis née la veille…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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