ENQUÊTE – Fils de deux monstres sacrés qui ont marqué leur époque, David Hallyday a dû composer avec une hérédité qui aurait pu être écrasante. Il se raconte dans une autobiographie qui sort le 23 novembre.
«On ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas ses parents», chantait Maxime Le Forestier. Cette chanson, David Hallyday pourrait la faire sienne. Comme beaucoup d’autres enfants d’ailleurs, quel que soit leur milieu ou la notoriété de leurs parents. Fils de deux monstres sacrés, de deux chanteurs qui ont marqué, au-delà de leur génération, toute une époque, David Hallyday a fait avec. Il a dû composer avec cette hérédité qui aurait pu être écrasante, mais qu’il a su finalement gérer. Réussissant à trouver sa place sur la photo de famille. Et c’est ce chemin qu’il raconte dans Meilleur album, l’autobiographie qu’il publie le 23 novembre, aux Éditions du Cherche midi. Une manière de dire sa vérité. Sans désir de vengeance, sans récrimination, calmement.
Écrire n’était pourtant pas évident pour lui. Mais, à 57 ans, et après 36 ans de carrière, il s’est laissé convaincre par l’éditeur Jean Le Gall parce qu’il avait «l’impression que l’on ne le connaissait pas». Il voulait raconter comment…
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