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Coworking, réservation en ligne, réseaux sociaux, burn-out… Être coiffeur en 2024

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La nouvelle génération de professionnels a tiré les leçons de la crise du Covid et réenchante l’expérience en salon.

«Ce qui fait un bon coiffeur, ce n’est plus forcément son salon mais son coup de ciseaux », assure Nicolas Dal Sasso, coiffeur coloriste à La Fabrica, salon en coworking du quartier de l’Opéra, à Paris, mettant à disposition une vingtaine de bacs et de fauteuils équipés. C’est après le confinement que ce trentenaire, ancien salarié d’un salon parisien, a décidé de franchir le cap. « J’aspirais à davantage d’autonomie et, avant d’ouvrir mon propre lieu, le coworking me semblait un bon tremplin : ici, je suis libre de mes horaires, je gagne mieux ma vie, je peux choisir les produits de coloration et de soin que j’ai envie d’utiliser… En tant que coiffeur résidant, j’ai un fauteuil attribué, mais la plupart de mes collègues en louent un à la journée ou même à l’heure, ce qui leur permet de partager leur temps de travail entre Paris et la province, entre le salon et la coiffure studio et, pour certains, plus âgés, de faire une douce transition vers la retraite. L’accueil et la gestion…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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