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Exposition Juergen Teller: de l’art ou du cochon?

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L’exposition événement du Grand Palais Éphémère consacré au photographe allemand ne fait pas l’unanimité. Provoc scato et portraits crus de femmes divisent les experts et le public, mais racontent le talent d’un portraitiste de l’époque à nul autre pareil.

La pancarte à l’entrée du Grand Palais éphémère prévient le visiteur que «certaines images peuvent choquer ». Dans le monde actuel, où circulent via les réseaux sociaux jusqu’aux écrans de smartphone de tout un chacun, les images filmées de barbarie contemporaine, qu’est-ce qui peut bien encore heurter le public ? En l’occurrence, le sexe et les fesses exhibées ad nauseam d’un photographe allemand de bientôt 60 ans.

Faut-il pour autant réduire Juergen Teller à ses provocations scato et son short en synthétique rose fluo ? Et par là même, oublier son talent immense pour le portrait, parfois brutal, mais aussi tendre et lumineux. Piétinant le tabou des femmes nues et vieillissantes, il présente ses grands tirages non retouchés de Vivienne Westwood et de Charlotte Rampling saisies dans toute leur crudité. La même peau claire, les mêmes yeux délavés, la même chair à la fois solide et fanée, sur ses propres autoportraits. Juergen s’aime beaucoup… même quand il ne s’aime pas.

Newton et Mapplethorpe avant lui

Le…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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