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Seconde main : « Même les gens qui ont des moyens ne veulent plus surpayer »

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Si le modèle de Collector Square, cofondé en 2015 par Osanna Orlowski, directrice générale, est digital, le showroom à Paris permet d’accueillir les clients qui viennent pour vendre ou acheter.
Collector Square

Après des années d’emballement sur certains produits de luxe comme les montres Patek Philippe et les sacs Hermès, les prix se réajustent. Explications avec Osanna Orlowski, cofondatrice et directrice générale de Collector Square.

Le site d’un des leaders français de la seconde de main de luxe, Collector Square, s’apparente à la caverne d’Ali Baba. En un clic, le visiteur a sous les yeux pas moins de 15 000 objets de marques d’horlogerie, de joaillerie et de maroquinerie les plus en vue. Une centaine de nouveautés y sont ajoutées chaque jour, autant y sont vendues, avec une décote de 30 % à 50 % par rapport au prix du neuf. Après une année quasi record en 2022 avec une croissance de 25 %, les chiffres de 2023 (non communiqués) se tassent un peu, reconnaissent les équipes, reflétant une dynamique « moindre » impactée par le contexte économique, géopolitique, et une évolution des comportements des consommateurs sur le créneau du haut de gamme. Osanna Orlowski, cofondatrice (en 2015) et directrice générale, livre son analyse.

LE FIGARO. – Même sur le luxe, le marché traverse une phase de transition. Comment cela se manifeste-t-il ?

Osanna ORLOWSKI. – Collector Square est un intermédiaire entre vendeurs et acheteurs…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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