ad

Philharmonie: le pari pas tout à fait réussi du «concert augmenté»

Share

- Advertisement - ad

«Transfiguré. 12 vies de Schönberg », pensé par Bertrand Bonello, traverse la vie de l’artiste sous diverses formes.

Cela fait un moment que le monde classique s’arrache les cheveux pour savoir comment faire évoluer le rituel très codifié du concert. Depuis qu’il a pris la direction de la Philharmonie de Paris, Olivier Mantei explore différentes voies pour y intégrer d’autres expressions artistiques, à la recherche du « concert augmenté ». Quelle que soit l’idée, une chose est sûre : il faut y mettre les moyens, tant au plan de la vision artistique que du dispositif technique. Cette semaine, c’est au cinéaste Bertrand Bonello que l’on doit un spectacle attachant et singulier, conçu autour d’Arnold Schönberg : Transfiguré. 12 vies de Schönberg.

En une heure cinquante sans entracte, l’Orchestre de Paris et son Chœur, dirigés par Ariane Matiakh, ainsi que le pianiste David Kadouch et la soprano Sarah Aristidou, sont au centre d’une scénographie convoquant vidéo, projections iconographiques, effets sonores et jeu d’acteurs. Des extraits savamment choisis d’œuvres-clés de celui qui a fait prendre…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 68% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

- Advertisement - ad

Déjà abonné ?
Connectez-vous

Content Source: www.lefigaro.fr

En savoir plus

advertisementspot_img

Nouvelles récentes