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Théâtre : dans Brasser de l’air et s’envoler Xavier Guelfi se fait gourou du droit chemin

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CRITIQUE – Dans un « Seul en scène » très inattendu et souvent très drôle, ce comédien nous propose une renaissance dont il serait le coach ! Un spectacle très original.

D’emblée, le ton est donné : Xavier Guelfi surgit ébouriffé, comme si tombé du lit. Tout en se concoctant un jus de carotte, il engage la conversation avec les spectateurs, de facto invités à partager l’intimité de sa cuisine. Il interpelle le public pour partager son désespoir, son manque d’empathie, sa lassitude, son dégoût de la vie. Et soudain, lumière ! Il propose à l’assemblée rien de moins qu’une… renaissance.

Tel un gourou bienfaiteur, et totalement à l’ouest, il se met en tête de changer le monde et de nous redonner foi en l’homme. Nous ne sommes pas à Taizé avec frère Roger officiant… mais pas loin. Impossible de deviner vers où il nous entraîne avec son côté secte. Parfois, on a l’impression qu’il s’engage dans une impasse dont il ne sortira pas, mais chaque fois il retombe sur ses pattes, comme un chat. Donc on rit, et parfois jaune. Les textes, très bien écrits, manient formidablement la langue française dans ses nuances et sa musicalité.

Qualité rare dans les « seuls…

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