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Le théâtre, bonne planque pour la comédie policière

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CRITIQUE – Quatre pièces actuellement à l’affiche mettent en scène enquêtes et meurtres. Un genre trop fréquemment considéré comme mineur.

Nous connaissons des lecteurs qui ne lisent que des romans policiers. Ils en avalent un ou deux par semaine. Ils ont dévoré tout sir Conan Doyle, Agatha Christie, G. K. Chesterton, Dashiell Hammett, James Hadley Chase, Exbrayat, Simenon, Boileau-Narcejac, Léo Malet, Patricia Highsmith… Le lecteur de roman policier est un maniaque. Un individu un peu spécial qui préfère parfois les chiens aux chats sous prétexte qu’il n’existe pas de chats policiers. Ce lecteur «particulier» sait que le créateur de ce genre s’appelle Edgar Poe, qui le hissa au rang d’un des beaux-arts. Le premier détective fut donc son Charles Auguste Dupin. Ce fin limier est, entre autres, l’ancêtre du Père Brown de Chesterton et du Sherlock Holmes de Conan Doyle.

Un bon roman policier ressemble à une pièce de théâtre. Et dans la catégorie théâtre policier, rien n’égalera Œdipe roi et Hamlet. Bien plus tard, les spectateurs étaient à l’affût d’affaires sanglantes. Le Grand-Guignol, au début du XXe siècle, occupa leurs soirées…

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Content Source: www.lefigaro.fr

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